Eleves | Formations | Publié le 01 mars 2021
SUPMICROTECH-ENSMM dans le premier tiers des écoles d’ingénieurs
Au palmarès de l’Usine Nouvelle qui vient de paraitre, SUPMICROTECH-ENSMM se classe à la 41ème place, soit une progression de 11 places par rapport au classement publié en 2020.
Ce classement annuel de 130 écoles françaises prend en compte quatre grands critères qui s’appuient sur la base de données de la Conférence des Directeurs des Ecoles Françaises d’Ingénieurs (CDEFI) et de la Commission des Titres d’Ingénieur (CTI) :
- l’insertion des diplômés sur le marché du travail,
- l’ouverture à l’international,
- la recherche et enfin
- la proximité avec les entreprises.
Chaque critère s’appuyant sur plusieurs indicateurs.
Une belle progression de SUPMICROTECH-ENSMM
Entre 2018 et 2021, SUPMICROTECH-ENSMM a gagné 34 places : 75ème en 2018, 69ème en 2019, 52ème en 2020 et 41ème en 2021.
Cette belle place dans ce dernier classement peut être attribuée à 3 facteurs principaux.
L’ouverture à l’international
Le pourcentage important d’élèves partis en stage à l’étranger dans le cadre de la mobilité obligatoire, permet à SUPMICROTECH-ENSMM d’atteindre la 8ème place sur ce critère. Les élèves ingénieurs de SUPMICROTECH-ENSMM sont particulièrement appréciés par les entreprises internationales.
La proximité avec les entreprises
La durée obligatoire des stages en entreprise qui représente 1/3 de la formation initiale ainsi que la réforme pédagogique mise en place pour répondre aux attentes des entreprises portent leurs fruits.
L’insertion professionnelle
Avec un taux de 75% de diplômés qui trouvent un poste en moins de 2 mois, SUPMICROTECH-ENSMM confirme la bonne intégration de ses jeunes ingénieurs sur le marché du travail.
Un critère d’attractivité pour les futurs élèves
Les résultats de ce classement sont en progression constante depuis plusieurs années. Ils illustrent notamment le développement de liens entre SUPMICROTECH-ENSMM et le monde de l’entreprise au niveau national comme international. Ils soulignent également l’adéquation de la formation avec les besoins des industriels.