Eleves | Formations | Entreprises | Publié le 12 juillet 2021
SUPMICROTECH-ENSMM a accueilli ce matin la deuxième promotion du Parcours Ingénieur. L’occasion de revenir sur ce parcours d’excellence unique, guidant les bacheliers vers le titre d’ingénieur SUPMICROTECH-ENSMM.
Le Parcours ingénieur c’est avant tout le fruit d’une coopération entre différents acteurs des microtechniques et de la formation, qui étaient présents ce vendredi 9 juillet, pour accueillir la deuxième promotion. Les 12 élèves et leurs parents ont été reçus par le directeur de SUPMICROTECH-ENSMM, Pascal Vairac, le Recteur de la région académique Jean-François Chanet, le proviseur du Lycée Edouard Belin, Jean-Marie Michoulier, le directeur du Campus des Métiers et des Qualifications (Microtechniques et Systèmes Intelligents (CMQ MSI) Emmanuel Foltête, et par Guy Sémon, parrain du parcours et ancien dirigeant de Tag Heuer.
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Les élèves se sont tour à tour présentés, montrant la diversité des parcours réunis. Les futurs élèves de ce cursus sont tous fiers d’intégrer ce parcours et de développer leurs compétences dans un domaine qui les passionne.
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Le Parcours ingénieur, c’est quoi ?
Lancé en septembre dernier au Lycée Edouard Belin à Vesoul, le Parcours ingénieur accueille des petites promotions : moins d’une quinzaine d’élève par an. Les élèves sélectionnés préparent deux BTS en parallèle :
- conception de processus et réalisation de produits (CPRP)
- et conception et réalisation de systèmes automatiques (CRSA) au lycée Belin
Puis ils continuent le cursus à SUPMICROTECH-ENSMM avec un Bachelor en apprentissage (3ème année) et en 5ème année, ils obtiendront le diplôme d’ingénieur SUPMICROTECH-ENSMM.
Pour en savoir plus sur le parcours ingénieur, cliquez ici.
Une formation professionnalisante
La demande est venue des entreprises de Franche-Comté qui recherchaient des ingénieurs proches du terrain. Au total, le temps en entreprise représente 90 semaines ! Ce parcours donne la possibilité à des jeunes d’avoir un parcours « personnalisé » et un CV atypique, unique sur le marché du travail. À plus long terme, la formation permet aussi de garder les talents dans la région : les étudiants ont vocation à travailler avec les entreprises locales, notamment dans les microtechniques très développées à Besançon.